Le Jazz et la photographie ont toujours entretenu des rapports étroits. Depuis les années cinquante, on ne compte plus les clichés qui ont contribué à faire connaître et à médiatiser les petits et grands artistes qui ont jalonné l’histoire de ce genre musical. Que ce soit à travers les rideaux de fumé des clubs ou dans les festivals en plein air, lorsque la photo se nourrit de cette énergie magique qui transcende le musicien au moment de donner sa performance.
Francis Barrier a longtemps pratiqué la clarinette et fait des photos depuis 28 ans. C’est donc tout naturellement qu’il a décidé de joindre ses deux passions en 2002 en photographiant les musiciens de jazz dans les clubs parisiens.
« La musique est exigeante et le jazz encore plus : à moins d’une heure d’instrument par jour, il ne faut pas compter jouer en orchestre. Appuyer sur un déclencheur et tirer des photos ne nécessite pas la même assiduité. La photographie était le moyen le plus facile pour revenir dans ce milieu, indispensable pour moi, de la musique. La simplicité des jazzmen, leur rapport à l’image, la proximité dans les clubs m’ont permis de les aborder facilement et d
e véritables échanges musique-image se sont ainsi créés, comme si l’appareil photo devenait le cinquième instrument d’un quartet. Saisir l’intensité d’un engagement dans un solo, capter l’écoute toujours attentive des autres musiciens quand un jazzman ne joue pas, figer un échange de regards, graver pour l’éternité la note bleue, tel est mon but. »
Comme vous pourrez le constater sur les deux photos qui illustrent ce blog, Francis a vraiment du talent, ce petit quelque chose et cette empathie qui lui permet de saisir l’émotion de l’artiste à travers les pixels couleurs de son Nikon, lorsqu’il ne se laisse pas aller à quelques photos noir et blanc, sans nostalgie mal placée. Françis Barrier présente aujourd’hui les images de la série « Jazz Colours » sur le stand Deflandre, au salon d’antiquités brocante qui s’est installé place de la Bastille à Paris du 8 au 18 mai.
Je vous invite vivement à vous y rendre pour découvrir l’ensemble des clichés de ce photographe qui réunit avec sensibilité la lumière et la musique, et pourquoi pas, vous porter acquéreur de l'un de ces petits bouts d'éternité...
« La musique est exigeante et le jazz encore plus : à moins d’une heure d’instrument par jour, il ne faut pas compter jouer en orchestre. Appuyer sur un déclencheur et tirer des photos ne nécessite pas la même assiduité. La photographie était le moyen le plus facile pour revenir dans ce milieu, indispensable pour moi, de la musique. La simplicité des jazzmen, leur rapport à l’image, la proximité dans les clubs m’ont permis de les aborder facilement et d
e véritables échanges musique-image se sont ainsi créés, comme si l’appareil photo devenait le cinquième instrument d’un quartet. Saisir l’intensité d’un engagement dans un solo, capter l’écoute toujours attentive des autres musiciens quand un jazzman ne joue pas, figer un échange de regards, graver pour l’éternité la note bleue, tel est mon but. »Comme vous pourrez le constater sur les deux photos qui illustrent ce blog, Francis a vraiment du talent, ce petit quelque chose et cette empathie qui lui permet de saisir l’émotion de l’artiste à travers les pixels couleurs de son Nikon, lorsqu’il ne se laisse pas aller à quelques photos noir et blanc, sans nostalgie mal placée. Françis Barrier présente aujourd’hui les images de la série « Jazz Colours » sur le stand Deflandre, au salon d’antiquités brocante qui s’est installé place de la Bastille à Paris du 8 au 18 mai.
Je vous invite vivement à vous y rendre pour découvrir l’ensemble des clichés de ce photographe qui réunit avec sensibilité la lumière et la musique, et pourquoi pas, vous porter acquéreur de l'un de ces petits bouts d'éternité...
Pour obtenir une invitation gratuite au salon : http://www.joel-garcia-organisation.fr/evenement_137.html
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